Plus sérieusement depuis ce matin j'ai parcouru 97,690km et d'après mes infos la prochaine pension serait Corabia à 47km,suffisant pour ce jour.En effet depuis ce matin j'ai traversé 16 villages mais de pensions point. Donc il faut gérer les étapes. Tous les villages traversés sont souvent très animés avec toujours des salutations aimables et les enfants qui me tendent la main pour que je "tope", il m'arrive d'en avoir 4 ou 5 à suivre et doit être vigilant pour ne pas me déséquilibrer.
Il y a une jeune gitane qui m'a jeté une espèce d'orvet!!! Quelle signification ce geste ???
Des villages assez pauvres avec beaucoup de chevaux et charrettes. Sur une quinzaine de km j'ai longé "lacul bisteul" le lac Bistret 19km2 ,j'ai eu droit à un concert de grenouilles , j'y ai vu beaucoup d'oiseaux, plusieurs fois j'ai mis pied à terre ...et à chaque fois des enfants tsiganes m'ont demandé, argent, mangé...en français, on ne voit personne et à peine arrêté il y en a 2 ou 3 qui arrivent par miracle, dommage ayant peur d'être submergé je reprenais mon vélo...
Pas un village traversé sans avoir vu une ou plusieurs bétonnières en action. J'ai aussi été encouragé dans une montée par le klaxon d'une "toupie"...j'ai aussitôt pensé au futur gendre de D. ou mon cousin normand....mais point, ni l'un ni l'autre...
Donc arrivé à 14h, j'ai mangé ce midi à table et en terrasse....
Pe curînd,
ah quel horreur se faire jeter un serpent dans les pa-pattes !!!
RépondreSupprimersuper mon frère !! je vois que ton périple se passe bien ,enfin presque....tous tes amis que je rencontre sont surpris comme moi de ta forme exceptionnelle surtout sans entraînement (trop fort mon yves :) ....j'espère que tu as pu réparer tes rayons cassés et pour ce qui est du jet d'orvet ; à ta place c'est sûr je lachais tout et tombais du vélo, tu m'connais avec ces bestioles... grrrr.... On va dire qu'elle a voulu te souhaiter la bienvenue...restons positif!!!!!! continus ta route et profites un max , gros bisous ...ta soeurette
RépondreSupprimerA mon avis elle a du avoir peur qu'il squatte chez eux et qu'il vide les stocks de bere, vu comment il devait avoir la langue qui pend ;-)
RépondreSupprimerBon périple l'ami.
El campesino marollois